Bruno & Karine Desroses

Qui sommes-nous ?

Karine & Bruno Desroses

Propriétaires et gérants depuis 2005

S’ils ne sont installés à Montmorillon que depuis 2005, la pâtisserie fait pourtant partie intégrante de la vie du couple Desroses depuis plus 25 ans. Après un CAP en boulangerie, puis en pâtisserie, puis en chocolaterie, Bruno Desroses s’est engagé dans un Brevet de maîtrise combinant le tout et assorti d’une formation de confiseur-glacier-traiteur. Sept années d’apprentissage et d’expérience qu’il va parfaire à Paris au sein d’une entreprise de traiteur événementiel. A la tête d’une équipe de 25 pâtissiers, Bruno Desroses conçoit alors des desserts servis aux passagers du Concorde ou à la table de hautes institutions françaises. Quinze années intenses qui ont développé son goût pour les produits nobles et les belles créations. Mais quand l’opportunité de reprendre la Maison Guillemard s’est présentée, le couple n’a pas hésité, ravi d’un retour aux sources leur permettant de vivre ensemble d’une même passion.

Une philosophie : transmettre le goût de bien faire

Maître artisan et Artisan du goût sont deux distinctions importantes et ce, à plusieurs titres. Ils sont la reconnaissance de notre travail, de nos engagements autour du fait maison et du choix de matières nobles. Ils sont aussi des valeurs inspirantes pour les jeunes apprentis que nous formons, au fil des années. Pâtissier – Chocolatier – Glacier – Confiseur, nous sommes aussi maître d’apprentissage. Un autre beau métier dans lequel nous essayons chaque jour de transmettre la passion qui nous anime.

Pâtisserie depuis 1847

La petite histoire du macaron

Si les murs du 12 Grand’rue pouvaient parler, ils nous raconteraient surement de belles histoires. Celles d’une époque qui débute en 1847 avec la pâtisserie Marthineau, suivie de 1988 à 1907 de la Pâtisserie Emeraud. En ce début de siècle, la réputation des macarons s’installe dans la ville puisqu’en 1909, quatre maisons les fabriquent : celle des sœurs Chartier, de Chevalier, de Couinaud et au 12 Grand’rue, celle de Dupin qui exercera jusqu’en 1922, date à laquelle Louis Carré prendra sa suite. A partir de 1928, seules les maisons Carré, Dejoie et Rannou-Métivier continueront à promouvoir le macaron de Montmorillon. Quant à nos murs, ils accueilleront en 1960 M. Bodin puis, en 1970 Michel Dacier avant que Michel Guillemard ne s’installent de 1970 à 2005. Si les murs de la pâtisserie Desroses pouvaient parler, ils raconteraient les effluves de cacao et l’odeur de l’amande, le tour de main et les savoirs faire de plusieurs générations… A l’évidence, ils dépeindraient un métier, une passion partagée.